L'entreprise publique avait déclaré l'état de force majeure dans ce champ pétrolier le 3 janvier, suite à des manifestations de la population locale qui réclamait l'établissement d'une raffinerie de pétrole dans la région et l'accès à des emplois dans les compagnies pétrolières.
Les manifestants libyens ont déclaré dans un communiqué, tôt dimanche, qu'ils avaient suspendu leur sit-in dans le champ pétrolier après être parvenus à un accord avec la NOC.
La Libye dispose des plus importantes réserves de brut d'Afrique, mais des années de conflit et de violence dans le pays depuis l'éviction de l'ancien dirigeant Mouammar Kadhafi, en 2011, ont entravé la production et les exportations.