
L’ambassadeur des États-Unis en Türkiye et envoyé spécial pour la Syrie, Tom Barrack, a affirmé que la Türkiye devrait faire partie d’une force internationale de stabilisation à Gaza, en raison de ses capacités militaires et de ses canaux de dialogue avec le Hamas.
Il s’exprimait lors de la conférence du Jerusalem Post à Washington, selon des propos relayés jeudi sur X par le journaliste israélien Amichai Stein.
Le cessez-le-feu est entré en vigueur le 10 octobre dans le cadre du plan du président américain Donald Trump, mettant fin à deux années d’attaques israéliennes qui ont fait plus de 70 000 morts, majoritairement des femmes et des enfants, et près de 171 000 blessés depuis octobre 2023.
La première phase de l’accord prévoit la libération d’otages israéliens en échange de prisonniers palestiniens, ainsi que la reconstruction de Gaza et la mise en place d’un nouveau mécanisme de gouvernance sans le Hamas.
La résolution 2803 de l’ONU établit le cadre de transition pour Gaza: création d’un Board of Peace, de l’ISF et d’un nouveau comité administratif.
Fidan a ajouté que la Türkiye coordonnait ses efforts avec l’Indonésie, l’Azerbaïdjan et d’autres partenaires arabes et musulmans pour préparer l’après-guerre à Gaza, soulignant qu’Ankara était ouverte à l’envoi de troupes, sous réserve d’un consensus entre toutes les parties concernées.









