C’est ce qui ressort d’un message diffusé mardi par le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA).
Interrogé par Anadolu (AA), le porte-parole du ministère de la Santé à Gaza, Ashraf al-Qudra, a fait savoir que plus de 500 personnes sont mortes suite à ce bombardement.
Pour le onzième jour consécutif, Israël lance d'intenses raids sur Gaza, coupant l'approvisionnement de la bande en eau, en électricité, en nourriture et en médicaments. En parallèle, d’intenses raids et arrestations israéliens ont eu lieu dans les villes et villages de Cisjordanie occupée en réponse à l’opération "Déluge d’Al-Aqsa" lancée par le Hamas et les factions palestiniennes le 7 octobre de cette année.
Bien avant la guerre actuelle, la population de Gaza, soit quelque 2,2 millions de Palestiniens, souffrait de conditions de vie extrêmement détériorées, résultat du siège israélien imposé depuis que le Hamas a remporté les élections législatives palestiniennes en 2006.