Son arrestation violente par des policiers le 13 mai, alors qu'il se trouvait dans la Maison de l'avocat, siège de l'Ordre au centre de Tunis, avait été vivement critiquée par l'Ordre des avocats ainsi que des ONG locales et internationales.
Depuis que le président Kais Saied, élu démocratiquement en octobre 2019, s'est octroyé les pleins pouvoirs lors d'un coup de force en juillet 2021, la société civile déplore une régression des droits et libertés en Tunisie.