
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a averti mardi que le système humanitaire mondial atteint un point de rupture, alors que les ressources du Fonds central d’intervention d’urgence (CERF) sont au plus bas depuis dix ans.
Son efficacité, a-t-il souligné, repose sur sa rapidité, sa souplesse et sa capacité à agir avant que d’autres financements n’arrivent.
Au cœur de cette nouvelle approche, a-t-il affirmé, se trouve le CERF, dont les ressources prévues sont au plus bas depuis dix ans. Fletcher a annoncé une allocation de 100 millions de dollars pour les crises les plus négligées, précisant que cette enveloppe représente près d’un quart des revenus anticipés pour 2025.
Il a aussi souligné l’importance d’un engagement local renforcé et de réponses centrées sur les femmes et les filles, parmi les plus vulnérables.









