C’est ce qui ressort d'une conférence de presse de Netanyahu, tenue au moment où Nasrallah prononçait un discours annonçant sa position concernant les développements dans la bande de Gaza, et les tensions à la frontière israélo-libanaise entre l'armée israélienne et les combattants du Hezbollah.
Dans ce même contexte, Netanyahu a renouvelé son refus d’un cessez-le-feu temporaire dans la bande de Gaza et de l’entrée de carburant dans l'enclave palestinienne.
L'armée israélienne a indiqué jeudi que 242 Israéliens sont aux mains des factions palestiniennes à Gaza, depuis le 7 octobre.
Depuis le déclenchement de la guerre contre la bande de Gaza, le 7 octobre dernier, Israël a mis en garde les groupes alliés à l'Iran, à plusieurs reprises, et en particulier le Hezbollah, contre toute ingérence dans la confrontation actuelle entre l'armée israélienne et les factions palestiniennes dans la bande de Gaza.
Parallèlement à la guerre israélienne contre Gaza depuis le 7 octobre, la frontière libanaise a été le théâtre de tensions entre l'armée israélienne d'une part, et le Hezbollah et les factions palestiniennes d'autre part, qui ont entraîné plusieurs morts et blessés des deux côtés.
Selon les informations fournies par le correspondant d'Anadolu, le Hezbollah a perdu 56 combattants depuis le début de l'escalade avec Israël.
Pour le 28e jour consécutif, l'armée israélienne mène une guerre dans la bande de Gaza, tuant et blessant de milliers de Palestiniens, pour la plupart des civils, et provoquant une situation humanitaire catastrophique, selon les alertes lancées par les institutions internationales.