Les manifestants, venus de différents quartiers de Tunis, ont appelé à se rassembler devant l'ambassade de France, rue Habib Bourguiba, selon le correspondant d’Anadolu.
Le bombardement de l'hôpital a déclenché une vague de condamnation généralisée dans de nombreuses capitales, avec des appels à la nécessité d’assurer la protection du peuple palestinien sous occupation israélienne.