Le président du Syndicat national de la presse tunisienne (SNJT), Zied Dabbar, prononce un discours lors d'un rassemblement appelant à la libération de son collègue Zied El Heni, arrêté le 29 décembre après avoir critiqué le ministre tunisien du Commerce dans une émission de radio qu'il anime, le 10 janvier 2024 à Tunis.
Le Syndicat national des journalistes tunisiens (Snjt) a réitéré, jeudi, son appel à la libération de cinq journalistes actuellement emprisonnés en Tunisie.
Dans un communiqué publié sur Facebook, le Snjt a affirmé qu'il
"exige la libération immédiate de Mourad Zeghidi, Borhen Bsaïes, Sonia Dahmani, Mohamed Boughalleb et Chadha Hadj Mbarek"
.
Le syndicat soutient que
"les opinions et positions exprimées par ces journalistes dans les médias et sur les réseaux sociaux s'inscrivent dans le cadre de l'exercice de leur droit constitutionnel à l'expression"
.
L'agence Anadolu n’a pas pu obtenir de réaction des autorités tunisiennes concernant cette déclaration du Snjt.
À plusieurs reprises, le président tunisien Kaïs Saïed a rappelé l’importance de l’indépendance du pouvoir judiciaire dans son pays.
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