Plus d'une centaine de personnes physiques et huit associations se sont constituées partie civile, souligne le même média.
Le gynécologue, considéré comme un notable de la région de Butare, est accusé d'avoir participé à un comité de crise ayant mis en place des barrières et des rondes au cours desquelles des personnes ont été interpellées avant d'être tuées, précise Africanews, soulignant que c'est le plus ancien dossier instruit en France, au nom de la compétence universelle de la justice française, sur des faits liés au génocide rwandais qui a fait plus de 800 000 morts entre avril et juillet 1994, selon l'ONU.