C’est ce qui ressort d'une réunion d'information organisée par Kazuyuki Yamazaki, au siège de l’ONU à Genève, avec des membres de l'Association des correspondants accrédités auprès de l'ONU (ACANU).
Notre gouvernement est donc déterminé à envoyer ce message au monde entier, et notamment à la Russie.
Le sommet du G-7 se tiendra cette année du 19 au 21 mai à Hiroshima, en présence de l'Italie, du Canada, de la France, des États-Unis, du Royaume-Uni, de l'Allemagne et de l'Union européenne.
L'Australie, le Brésil, les Comores, les îles Cook, l'Inde, l'Indonésie, la République de Corée et le Viêt Nam participeront également au sommet en tant qu'invités.
Deux ordres du jour prioritaires seront discutés sous la présidence japonaise, a déclaré Yamazaki, expliquant qu'il s'agit de la sauvegarde de l'ordre international fondé sur l'État de droit et de l'ouverture aux pays du Sud.
D'autres sujets importants seront abordés au cours de ce sommet de trois jours : l'Ukraine, le désarmement nucléaire et la non-prolifération, l'Indo-Pacifique, la sécurité économique, le climat, l'énergie, l'alimentation, la santé, le développement, la parité hommes-femmes et la numérisation.
Il a souligné que 15 réunions ministérielles au total se tiendront au Japon, du 15 avril au 10 décembre.
Le dernier sommet du G7 s’était tenu du 26 au 28 juin 2022, en Allemagne, sous le thème "Progresser vers un monde équitable".