Ce déploiement reste toutefois suspendu par la Haute cour de Nairobi qui doit encore examiner un recours déposé par un opposant qui argue que cette mission est inconstitutionnelle.
Des ONG de défense des droits humains soulignent que la police kényane a l'habitude de recourir à la force, parfois létale, contre des civils, ce qui constitue un risque majeur dans un pays où de précédentes interventions étrangères ont été marquées par des violations des droits humains.