Les soupçons d'irrégularités constituent, selon les partisans de M. Arévalo, une nouvelle tentative du bureau du procureur dirigé par la procureure générale Consuelo Porras (placée sur une liste d'acteurs corrompus par les Etats-unis), d'empêcher l'investiture le 14 janvier du président élu.
M. Arévalo a remporté à la surprise générale la présidentielle sur un programme de lutte contre la corruption.
Mi-novembre, le bureau du procureur a effectué une demande de levée d'immunité de M. Arévalo et de sa vice-présidente élue Karin Herrera pour une affaire d'occupation d'université publique de mai 2022 à juin 2023.
D'autres manœuvres judiciaires ont permis la suspension de son parti politique.