Plusieurs dizaines de manifestants se sont, cependant, rassemblés pour protester contre la répression subie par les étudiants de Sciences Po Paris qui voulaient exprimer leur solidarité avec le peuple palestinien.
Lors de cette manifestation avant qu'ils ne soient informés de son interdiction par le biais d'un arrêté préfectoral, des dizaines d'étudiants scandaient:
C'est pas une guerre, c'est un génocide. Israël assassin, Sciences Po complice.
Sur place, le correspondant d'Anadolu apprend, d'un mail envoyé aux étudiants, que l'administration du campus avait décidé de fermer l'établissement et de suspendre tous les cours.
Entre-temps, l'affaire a pris de l'ampleur suscitant des réactions du président Emmanuel Macron et du Premier ministre Gabriel Attal.