Le 26 juin, M. Ruto avait déjà retiré le projet de budget, qui prévoyait des hausses d'impôts, après une journée de violences marquée par l'assaut du Parlement par de jeunes manifestants.
De nombreuses organisations de défense des droits humains ont critiqué les méthodes employées par les forces de l'ordre et réclamé l'ouverture d'enquêtes.