Cette notification fait démarrer le délai d'un an avant que le retrait ne prenne effet, période pendant laquelle les pays membres qui décident de partir restent tenus par leurs obligations, selon les textes de l'organisation.
La décision de ces trois pays, où des coups d'Etat ont renversé les présidents élus, marque le point d'orgue de la dégradation des relations avec la Cedeao qui s'est employée en vain à obtenir le retour le plus rapide possible de civils au pouvoir.