C'est ce qui ressort d'un communiqué publié par la présidence algérienne mardi soir.
La déclaration n'incluait pas de détails sur les raisons du limogeage du ministre Bouslimani, mais elle intervient après que la chaîne locale Al-Nahar a publié de fausses nouvelles, qui ont ensuite été démenties par le ministère des Affaires étrangères, concernant "l'expulsion" de l'ambassadeur émirati en Algérie.