De la fumée s'élevant de bâtiments touchés par des frappes de l'entité sioniste à Gaza, le 1er décembre 2023.Crédit photo: JOHN MACDOUGALL / AFP
C’est ce qui ressort des déclarations du porte-parole de l’organisation, James Elder, à la presse, au bureau des Nations Unies à Genève, en Suisse, après un séjour dans la bande de Gaza.
Il a confirmé la reprise des bombardements israéliens sur Gaza après la trêve temporaire entre les factions de la résistance palestinienne et Israël, pour une durée de 7 jours, du 24 novembre au 1er décembre.
Elder est arrivé dans la bande de Gaza avant que la trêve temporaire n'entre en vigueur et a confirmé dans des déclarations précédentes à Anadolu qu'il trouvait la situation là-bas pire qu'il ne l'avait imaginé.
À cet égard, il a déclaré:
"Destruction, choc et pression sur les visages des gens dans la bande de Gaza, en proie à une guerre meurtrière au cours de laquelle Israël a coupé tout approvisionnement de l'enclave en électricité, en eau, en nourriture et en carburant."
Israël avait lancé une campagne militaire massive et dévastatrice dans la bande de Gaza à la suite d'une attaque transfrontalière du Hamas le 7 octobre.
Depuis, Israël a tué plus de 15 000 palestiniens, dont 6 150 enfants et 4 000 femmes, selon les autorités sanitaires de l'enclave.
Tandis que le bilan officiel des morts israéliens s’élève à 1 200.
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