François, un participant actif du collectif "Marchons pour la Palestine", a partagé ses expériences et ses vues lors de l'interview avec le correspondant d'Anadolu.
Envoyons nos quatre bâtiments en face de la bande de Gaza pour interdire le survol de Gaza, par tout drone, par tout hélicoptère, par tout avion de la mort, pour qu'ainsi ce cessez-le-feu soit imposé.
Le manifestant exprime également une critique sévère envers les actions d'Israël:
Il y a un moment, quand un ami fait trop de conneries, il faut lui dire 'Stop là!' Et là, il est allé bien trop loin. Ce n'est même plus un ami.
Cette situation a poussé 85 % de la population gazaouie à se déplacer, particulièrement vers Rafah, exacerbant la crise.
Cet événement et ces déclarations rappellent l'urgence d'une réponse internationale coordonnée et la nécessité pour la France de jouer un rôle actif pour soutenir un cessez-le-feu et des mesures humanitaires immédiates.
François, un des marcheurs du collectif "Marchons pour la Palestine", s'était rendu à pied de Paris le 20 janvier, jusqu'au Parlement européen de Bruxelles le 1ᵉʳ février pour appeler à un cessez-le-feu immédiat.