Le communiqué accuse Meta de pratiques discriminatoires, d'abus de position dominante, d'utilisation sans autorisation des données personnelles de Nigérians, et d'avoir privé les Nigérians du droit de déterminer comment leurs données étaient utilisées.
Selon la FCCPC, Meta était au courant de l'enquête, qui a duré 38 mois.
En mars, le pays comptait environ 164,3 millions d'abonnements à l'internet, selon le site de la Commission nationale des communications (NCC).
Les plateformes de Meta, WhatsApp, Facebook et Instagram, figurent parmi les plus populaires dans le pays.
Selon l'UE, Meta a violé le règlement européen sur les services numériques en proposant aux utilisateurs de Facebook et Instagram de choisir entre un abonnement payant pour éviter d'être ciblés par la publicité ou un service continuant d'être gratuit mais en consentant à livrer leurs données personnelles.