Dix-huit candidats étaient en lice pour briguer la magistrature suprême au Nigeria, pays le plus peuplé d’Afrique, avec plus de 220 millions d’habitants. Mardi, les deux principaux partis d'opposition au Nigeria ont appelé à l'annulation du scrutin qui s’est déroulé ce week-end.
Le processus électoral s'est compliqué au moment du transfert électronique des résultats, expérimenté pour la première fois au Nigeria, la plupart des agents, qui étaient censés télécharger les résultats depuis les 176 000 bureaux sur une plateforme de l’INEC, n'ont pas réussi à le faire.