Alger avait exprimé sa position contre une intervention militaire de la Communauté économique des États de l'Afrique de l’Ouest (Cédéao) au Niger et proposé son plan de sortie de crise dès le mois d'août, basé sur une transition de six mois maximum dirigée par une personnalité civile et acceptée par toutes les sensibilités politiques.
Mais à notre avis, le processus peut être terminé en six mois, de manière à ce que le coup d'État ne devienne pas un fait accompli.