Cette victoire exige l'entrée dans Rafah et l'élimination des bataillons terroristes qui s'y trouvent. Cela se fera. Il y a une date.
Les médias israéliens avaient précédemment rapporté, dans les mois passés, que le ministre d'extrême droite à la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, et le ministre des Finances, Bezalel Smotrich, avaient empêché Netanyahu de conclure des accords d'échange de détenus et de cessez-le-feu sous la menace de se retirer du gouvernement et de le renverser.
Plus tôt dans la journée du lundi, Ben-Gvir a menacé Netanyahu de quitter le gouvernement si la guerre contre Gaza prenait fin sans envahir la ville de Rafah.
La délégation de négociation israélienne, dirigée par le directeur du Mossad David Barnea, est revenue de la capitale égyptienne, le Caire, pour tenir de nouvelles consultations à Tel Aviv.
Tel Aviv estime qu'il y a environ 134 détenus israéliens à Gaza. De son côté, le Hamas a annoncé que 70 d'entre eux avaient été tués lors de raids israéliens contre l'enclave Palestinienne.