Les violences à l’encontre des civils ont été perpétrées majoritairement par Daech dans le Grand Sahara (EIGS), et autres groupes similaires, responsables de 64% des violations et atteintes aux droits de l’homme documentées, précise la Minusma.
Sur le plan géographique, le plus grand nombre de violations et atteintes aux droits de l’homme a été enregistré dans les régions de Bandiagara (103), Gao (80) et Ségou (46), suivies notamment de celles de Ménaka (43), Mopti (42), San (12), Douentza (9) et Tombouctou (8), indique la même source.
La Minusma réaffirme, enfin, son engagement à continuer à travailler avec les autorités maliennes dans un esprit de partenariat et de transparence et à appuyer les efforts qu’elles déploient en vue de relever les défis existants et d’assurer une application plus effective des instruments juridiques internationaux pertinents que le Mali avait ratifiés.