Les partisans d'Israël en France ont exagéré: Les universités turques sont les suivantes

14:376/10/2024, Pazar
MAJ: 6/10/2024, Pazar
AFP
Une photo de l'université islamique, scientifique et technologique de Gaziantep en Türkiye.
Une photo de l'université islamique, scientifique et technologique de Gaziantep en Türkiye.

Les partisans d'Israël, qui font pression sur les universités françaises qui soutiennent Gaza et les Palestiniens, s'en prennent désormais à une université turque. Six membres français du Parlement européen ont demandé que le "soutien Erasmus" soit supprimé pour l'université islamique, scientifique et technologique de Gaziantep, au motif qu'elle soutient Gaza et qualifie le chef du Hamas, Ismaël Haniyeh, de "martyr".

Alors que les attaques inhumaines d'Israël sur Gaza se poursuivent, six députés français ont écrit une lettre incroyable. Après le martyre du chef du bureau politique du Hamas, Ismail Heniyye, le recteur de l'université islamique, scientifique et technologique de Gaziantep, le professeur Şeymus Demir, qui a présenté ses condoléances sur son compte de médias sociaux X après le martyre du chef du bureau politique du Hamas, Ismaël Haniyeh, a été cité pour ses messages sur le martyre Haniyeh. Décrivant le travail de l'université, qui est le seul établissement d'enseignement en Türkiye portant le nom de l'Islam, comme
"glorifiant le terrorisme et promouvant l'antisémitisme"
, 6 députés ont demandé dans une lettre à la Commission de l'UE,
"Quand prévoyez-vous de suspendre le paiement des fonds européens alloués à cette université ?"

CES 6 NOMS


Six députés européens, François Xavier Bellamy, Isabelle Le Callennec, Laurent Castillo, Christophe Gomart, Céline Imart, François Xavier Bellamy, Isabelle Le Callennec, Laurent Castillo, Christophe Gomart, Céline Imart et Nadine Morano, ministre de la Famille de l'ancien président français Nicolas Sarkozy, députée européenne depuis 2014, ont exigé de l'Union européenne qu'elle cesse de financer les universités dans le cadre du programme Erasmus+.


CONTRAIRE AUX PRINCIPES EUROPÉENS


Dans la lettre adressée à la présidente de la Commission européenne Ursula Von Der Leyen, il est souligné que l'Union européenne, dans le cadre du programme Erasmus+, a intégré et financé une université étrangère dont les administrateurs ont tenu des propos totalement contraires aux principes européens les plus élémentaires :
"L'université des sciences et technologies islamiques de Gaziantep a été fondée par le régime de M. Erdoğan et est dirigée par le recteur Demir. Ce professeur de théologie islamique a régulièrement pris la parole pour appeler à une intifada, pour soutenir le Hamas, officiellement reconnu comme une organisation terroriste par l'Union européenne, dans sa "résistance" et pour accuser Israël d'être "responsable des pires massacres que le monde ait jamais connus". La lettre souligne que malgré ces déclarations, qui soi-disant "n'ont pas été faites", l'université n'a pas été en mesure de répondre à la demande de l'Union européenne, et qu'elle n'a pas été en mesure de le faire.
L'approbation par la Commission du soutien à une organisation dirigée par des islamistes liés à un mouvement terroriste est pour le moins choquante et intolérable."

ALLÉGATION DE PROPAGATION DU SÉPARATISME


La lettre affirme que l'université est fondamentalement opposée aux valeurs de l'Union européenne, telles que l'égalité entre les hommes et les femmes :
"Elle offre donc une visibilité et des ressources aux forces qui menacent de détruire l'Europe, en propageant l'islamisme, l'antisémitisme et le séparatisme dans nos pays. Le financement de cette université islamique constitue une grave ingérence dans le programme d'échanges universitaires Erasmus+. Ce programme vise à soutenir le développement éducatif, professionnel et personnel des étudiants en Europe au cours de leurs études supérieures. C'est une erreur inacceptable de faire courir un tel risque à la jeunesse européenne
". Selon la lettre, le financement de l'Université islamique de Gaza ou de l'ONG Al Sharg Forum, ainsi que l'organisation d'événements avec des institutions européennes par des associations politiquement liées à des réseaux islamistes internationaux, constituent un avertissement supplémentaire quant au risque d'ingérence hostile dans les systèmes démocratiques.

D'autre part


La presse française a publié des articles sur l'Université islamique des sciences et technologies de Gaziantep. Dans ces articles, l'indigestion de Gaza est à nouveau révélée.


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