Prévenir et de punir de telles incitations.
La conférence controversée, évoquée dans le communiqué du ministère français des Affaires étrangères, a suscité des inquiétudes internationales quant à l'escalade des tensions dans la région. Le Quai d'Orsay a précisé:
Il ne revient pas au gouvernement israélien de décider où les Palestiniens doivent vivre sur leurs terres.
Pour rappel, Israël a lancé des attaques aériennes et terrestres incessantes et indiscriminées sur la Bande de Gaza depuis une attaque transfrontalière du Hamas le 7 octobre dernier.
Les bombardements israéliens ont tué plus de 26 000 personnes, principalement des femmes et des enfants, déplacé 85 % de la population de l'enclave sous blocus et créé les conditions d'une famine, selon des sources onusiennes. Israël affirme que 1 200 personnes ont été tuées depuis l'attaque du Hamas.
Tel-Aviv doit également soumettre à la CIJ un rapport sur toutes les mesures prises pour donner effet à cette ordonnance dans un délai d'un mois.