La frappe a détruit le bâtiment de Al-Sirat TV, une chaîne connue pour son soutien au Hezbollah.
Le Hezbollah a démenti les accusations selon lesquelles des armes auraient été entreposées dans des bâtiments civils, y compris dans le siège de la chaîne Al-Sirat TV, visé par l'aviation israélienne.
Parmi les victimes figurent plusieurs dirigeants du Hezbollah, dont le chef Hassan Nasrallah.
La communauté internationale craint que les frappes israéliennes sur le Liban ne transforment le conflit en une guerre régionale plus large, menaçant de déstabiliser davantage la région.