Cependant, le yen a continué de baisser face au dollar, franchissant la barre des 156 yens, un niveau record depuis 1990. La BoJ a souligné l'importance de surveiller les marchés financiers et des changes.
Un yen faible est bénéfique pour les exportations mais pèse sur les importations et alimente une inflation importée.
La BoJ a relevé ses prévisions d'inflation principalement en raison de la hausse des prix du pétrole et de la dissipation des mesures anti-inflation. Concernant la croissance économique, la BoJ prévoit un ralentissement en 2024/25 mais maintient sa prévision pour les années suivantes.
Elle continuera ses achats d'actifs conformément à ses décisions précédentes, malgré les attentes d'une réduction. La Bourse de Tokyo a réagi positivement à l'approche accommodante de la BoJ, avec une hausse du Nikkei.