C'est ce qu'a déclaré Orhan Tatar, directeur général du service de la réduction des risques sismiques au sein de l’AFAD, lors d'une conférence de presse, tenue ce mercredi dans la capitale Ankara.
Le lundi 6 février à l'aube, deux séismes successifs de magnitude 7,7 et 7,6 degrés avaient secoué le sud de la Türkiye et le nord de la Syrie, causant de lourds bilans en vies humaines et en dommages matériels.