Après tout ce mal, c'était compliqué de faire autrement.
Le patron du comité olympique russe Stanislav Pozdnyakov a pour sa part indiqué qu'il était inacceptable que des règles différenciées s'appliquent à sa délégation.
L'ex-championne estime en revanche que les Bélarusses qui ont protesté contre leur autocrate président Alexander Lukashenko, et ceux qui vivent à l'étranger, devraient, comme l'a suggéré la Pologne, être intégrés à l'équipe des réfugiés.
A contrario, l'ex-triple sauteuse salue le courage du président de la fédération internationale d'athlétisme Sebastian Coe qui a fermé la porte aux Russes et Bélarusses tant que l'Ukraine n'aurait pas retrouvé sa souveraineté.