Al-Harith Mohamed, qui s’est exprimé, samedi, au siège des Nations Unies à New York, a tout d’abord noté que le gouvernement et l'armée soudanais sont dans une position défensive et non offensive.
Il a indiqué que les Forces de soutien rapide (FSR) ont perdu leur autorité parmi les différents groupe et a souligné que le pillage a été effectué par ces groupes.
Nous pensons que, pour faire taire les armes, l'Union africaine trouvera des solutions africaines aux problèmes africains.
Al-Harith Mohamed a expliqué qu'une plus grande implication nuirait aux initiatives de bonne volonté du Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres.
Depuis le 15 avril courant, le Soudan est le théâtre de combats entre l’armée régulière et les paramilitaires à Khartoum et dans d'autres villes et régions du pays. Les deux camps s’accusent mutuellement d’avoir déclenché les hostilités.