La peine de mort a été requise mardi contre 50 personnes, dont trois Américains, poursuivies pour la "tentative de coup d'État" du 19 mai en République démocratique du Congo.
L'aventure des assaillants s'était arrêtée là, avec l'intervention des forces de sécurité qui avaient interpellé une quarantaine d'entre eux et en avaient tué quatre autres, dont leur chef présumé, Christian Malanga (41 ans), un Congolais installé aux États-Unis.