La lettre est adressée aux 13 membres de l'Opep, dont l'Irak, l'Iran, les Emirats arabes unies, qui président cette année la conférence climatique des Nations unis, et l'Arabie saoudite, en première ligne pour s'opposer à la sortie des énergies fossiles.
Le courrier est aussi envoyé aux dix pays associés, comme le Mexique, l'Azerbaïdjan, la Russie ou la Malaisie, tous présents à Dubaï.
Il a mis en exergue les efforts de l’Irak pour réduire ses propres émissions, notamment ses projets visant à mettre fin au torchage du gaz.