Les secouristes craignent que d'autres personnes, mortes ou encore en vie, ne soient piégées sous les décombres. Des chiens de détection ont été déployés sur place, alors que les sauveteurs utilisent avec précaution de gros engins de déblaiement pour déplacer les débris.
Il est difficile de dire, selon lui, combien de personnes pourraient encore être piégées sous les gravats, mais des survivants ont indiqué avoir reçu des coups de fil de collègues manquant à l'appel, ensuite M. Faizi a souligné:
Ils ne reçoivent plus d'appels (...) Peut-être, les batteries de téléphones de ceux piégés à l'intérieur sont déchargées, ou peut-être y a-t-il une autre raison.
De petits brasiers ont éclaté après la catastrophe, alors que les conducteurs et leurs assistants se préparaient des repas sur des réchauds à gaz avant le lever du jour, en ce mois de jeûne du Ramadan, il a ajouté:
Le feu est maintenant sous contrôle. L'opération de secours se poursuit, avec l'aide de pelleteuses et de machinerie lourde.
La cause de l'éboulement n'était pas immédiatement connue. Un responsable administratif local, Ali Raza, a fait observer que des machines lourdes étaient utilisées depuis des mois pour des travaux d'agrandissement dans les collines entourant le poste-frontière.
Les autorités ont momentanément fermé le poste-frontière au trafic routier, mais il reste ouvert aux piétons, selon la même source.