La décision autorisant la formation du groupe d'amitié à l'Assemblée nationale, qui a été soutenue par les députés de gauche et du centre après des mois de débat, a déjà suscité la controverse, a rapporté Le Journal du Dimanche.
Ajoutant que le Sénat disposait déjà d'une structure similaire, il a déclaré:
Il est impensable d'avoir un groupe d'amitié avec Israël sans équivalent pour la Palestine.
La présidence de ces groupes sera décidée lors d'une réunion prévue le 25 novembre, date à laquelle la présidence du groupe France-Israël, actuellement assurée par le parti du président français Macron, pourrait être disputée par le parti d'extrême droite, Rassemblement national.