Nous sommes à nouveau confrontés à une nouvelle situation. Le processus de dialogue Damas-Ankara - même si Damas est confus - a été relancé. Israël utilise l'attaque du 7 octobre comme une opportunité pour forcer la région à entrer en conflit et les Etats-Unis à rester dans la région. Les États-Unis, dont on disait qu'ils allaient quitter la Syrie, ont renforcé leur présence militaire au Moyen-Orient. Le CENTCOM a recommencé à prendre les rênes. Que feront alors les États-Unis ? Les signaux sont contradictoires. En voici la liste...
Résumé : Un nouveau statu quo se dessine. Les États-Unis envoient des signaux contradictoires sur ce qu'ils doivent faire. Je reviendrai plus tard sur ce que cette situation nous apprend.
Premièrement. Les décisions de la Ligue arabe sont prises par consensus. Damas ne s'est pas opposé à la participation d'Ankara à la réunion. Deuxièmement. Le ministre et une partie de son entourage ont quitté la salle, mais le reste de la délégation est resté à la table. La Syrie était représentée pendant le discours. Troisièmement. Nous ne sommes pas intéressés par ce que le ministre syrien des affaires étrangères a fait là-bas. Nous sommes allés à la réunion pour la Ligue arabe, pas pour la Syrie, et nous avons été très satisfaits de ce que nous avons entendu de la part de nos amis arabes.
Le nom et le logo BIST sont protégés sous le "Certificat de Marque Protégée" et ne peuvent être utilisés, cités ou modifiés sans autorisation.Tous les droits d'auteur des informations publiées sous le nom BIST appartiennent entièrement à BIST et ne peuvent être republiés. Les données de marché sont fournies par iDealdata Finansal Teknolojiler A.Ş. Les données des actions BIST sont retardées de 15 minutes.