Le ministre fraîchement nommé vient ainsi apporter sa pierre à une polémique qui a occupé la classe politico-médiatique française durant une partie du printemps.
Invoquant la loi de 2004 qui interdit le port de signes religieux ostentatoires à l’école, les tenants d’une laïcité zélée souhaitent en effet que les élèves vêtues d’abayas soient empêchées d’accéder à leurs cours.