Dans son discours à l'Assemblée générale du Parlement à l'occasion de l'ouverture de la 3e session législative de la 28e législature, Erdogan a exprimé l'espoir que la nouvelle année législative soit bénéfique.
Le Président Erdogan a ajouté que le Parlement continuerait à travailler avec ardeur et dévouement pour promulguer les lois nécessaires à la nation. Le président turc a exprimé l'espoir que la nouvelle année législative soit marquée par l'harmonie, le compromis, la compréhension mutuelle et la tolérance, et qu'elle soit productive et prospère.
Erdogan a souligné que les plus de 20 modifications apportées à la Constitution de 1982 montrent clairement l'insatisfaction de la nation à son égard:
La Constitution de 1982, devenue "rapiécée", a désormais atteint ses limites.
Soulignant qu'il est impossible de penser la Nation et l'État séparément, Erdogan a affirmé :
S'il y a une Nation, il y a un État. Si l'État existe, la Nation persiste.
Le Président Erdogan a déclaré que l'État ne dominait pas la Nation et que la Nation ne pouvait subsister sans l'État.